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Don’t Expect to Get 100% From Your Employees Right Now

Barbara Larson, an executive professor of management at Northeastern University, is one of the world’s premier scholars on remote management. She says that the way you manage teams in the office just won’t translate remotely.

What do managers need to change immediately?

Trying to require 100% attention is not going to work. This is like wartime. You wouldn’t expect people to be at 100% productivity when their houses are getting bombed. Right now, child care and housecleaning and restaurants and all these services that help people buy time have been cut off. Managers need to be extraordinarily sensitive to that.

What criteria do you focus on with work-from-home employees?

Set expectations around results and output. In reality, what often gets rewarded is time in the office and online presence, which don’t necessarily correlate with results and output. Managers should think about the nature of the work employees are doing and give as much leeway and flexibility as is reasonable when it comes to things like work hours, especially now that many workers are also parenting at home.

How do you put that into practice?

If you want a time that everyone is online, talk about that and set a time, perhaps 11 a.m.-2 p.m. Of course, if you have someone whose job is to be chatting with customers from 8 to 5, then you need to know that she’s available.

What is the most common mistake that you see managers making?

Trying to control employees too much. A friend works at a small firm, where the head is having the entire firm call in for all-hands meetings three times a day, which is insane and very much resented by employees.

Source: Bloomberg Businessweek

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Ne vous attendez pas à ce que vos salariés soient à 100 % en ce moment

Barbara Larson, professeur exécutif en management à l’université Northeastern, est l’une des plus grandes spécialistes mondiales du management à distance. Selon elle, la façon dont on gère les équipes au bureau ne peut tout simplement pas être reproduite en télétravail.

Que doivent changer les managers immédiatement ?

Tenter d’obtenir 100 % d’attention ne fonctionnera pas. C’est comme en temps de guerre. On ne s’attendrait pas à ce que les gens soient productifs à 100 % en cas de bombardement de leurs maisons. En ce moment, les services de garde d’enfants et de ménage, les restaurants ainsi que tous les autres services qui aident les gens à gagner du temps ont été supprimés. Les managers doivent être extrêmement sensibles à cela.

Sur quels critères se concentrer avec les salariés en télétravail ?

Basez les attentes sur les résultats et la productivité. En réalité, ce qui est souvent récompensé, c’est le temps passé au bureau et la présence en ligne, qui ne sont pas nécessairement en corrélation avec les résultats et la productivité. Les managers doivent prendre en compte la nature du travail effectué par leurs salariés et leur laisser autant de marge de manœuvre et de flexibilité que possible en ce qui concerne les horaires de travail, surtout maintenant que de nombreux employés doivent également s’occuper de leurs enfants à la maison.

Comment mettre cela en pratique ?

Si vous voulez réunir tout le monde en ligne, parlez-en et fixez un horaire, de 11 h 00 à 14 h 00 par exemple. Bien sûr, si vous avez une personne dont le travail consiste à communiquer sur Internet avec les clients de 8 h 00 à 17 h 00, vous devez alors savoir qu’elle est disponible.

Quelle est l’erreur la plus courante que vous voyez les managers faire ?

Essayer de trop contrôler les salariés. Un ami travaille dans une petite entreprise où le chef organise une réunion de tout le personnel trois fois par jour, ce qui est insensé et très mal vu par les employés.

Source : Bloomberg Businessweek

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Ethan is whispering something in Gregory’s ear. Gregory is even quieter than usual.
I glance back at them, and I know Greg’s quiet misleads people into thinking he’s the safe one, but he’s not. He’s the most sadistic, if you ask me. I mean, if there are degrees. Can sadism be measured in degrees?
“We decide together,” Ethan says to me. He’s repeated this mantra for the last forty-eight hours.
“I decide, little brother.” He’s twenty-five, three years my junior. Gregory is twenty-four.
“She’s all of ours,” he says, sounding like a fucking toddler who doesn’t get his way.
“No,” I clarify, and I’m trying to be patient because really, I can’t blame Ethan for being the way he is. “She’s mine.”
“She’s only yours first.”
“Give it a rest, Ethan,” I say.
“Sebastian.” My stepmother’s heels click over the hardwood. “Don’t fight with your brother. You know I don’t like to see that.” She goes to Ethan, touches his cheek. “You’ll all have your turn with the Willow whore. They’re resilient.”
Her loathing of the Willow women is so obvious, a part of me wishes the chosen girl luck because she’ll need it to walk out of the Scafoni home when her three years are up. It’ll take someone with a spine of steel to survive my stepmother, never mind my brothers and me.
“Why do you hate them, Lucinda?” I ask, enjoying my power over her.
Truth be told, she probably hates me as much as the Willows, but it doesn’t matter. I may not be her biological son, but I am master of the Scafoni family. My father is dead, I am the eldest, and I have no intention of letting anyone rule me or usurp my place, especially not Lucinda.
“They’re whores, Sebastian. There to serve a purpose. Remember that instead of turning on your brothers. Family first. Never forget it.”
“You don’t have to remind me of that, Lucinda. I just wish I understood your hatred of them. I mean, what are they to you? You’re not a Scafoni by blood, after all.”
This irritates the fuck out of her, and that fact makes me grin.
The library doors open, saving her from having to answer.

Target Text

Ethan chuchote quelque chose à l’oreille de Gregory. Ce dernier est encore plus silencieux que d’habitude.
Je leur jette un coup d’œil, et je sais que le calme de Greg induit les gens en erreur en leur faisant penser qu’il est inoffensif, mais ce n’est pas le cas. C’est lui le plus sadique, si vous me demandez. Je veux dire, s’il y a des degrés. Le sadisme peut-il être mesuré en degrés ?
— Nous décidons ensemble, me dit Ethan.
Il a répété ce mantra durant les dernières quarante-huit heures.
— Je décide, petit frère.
Il a vingt-cinq ans, de trois ans mon cadet. Gregory a vingt-quatre ans.
— Elle est à nous tous, dit-il, ressemblant à un sale mioche à qui on ne donne pas raison.
— Non, dis-je pour clarifier, elle est à moi.
J’essaie d’être patient, car je ne peux assurément pas blâmer Ethan d’être ce qu’il est.
— Elle est à toi en premier seulement.
— Assez, Ethan, dis-je.
— Sebastian.
Les talons de ma belle-mère claquent sur le bois massif.
— Ne te bats pas avec ton frère. Tu sais que je n’aime pas voir ça.
Elle rejoint Ethan et lui touche la joue.
— Vous aurez tous votre tour avec la pute Willow. Elles sont résilientes.
Son dégoût des femmes Willow est tellement évident qu’une partie de moi souhaite bonne chance à la fille choisie, car elle en aura besoin pour sortir de la maison Scafoni quand ses trois ans seront écoulés. Il lui faudra un caractère bien trempé pour survivre à ma belle-mère, sans parler de mes frères et moi.
— Pourquoi les détestez-vous, Lucinda ? demandé-je, appréciant mon pouvoir sur elle.
En vérité, elle me déteste probablement autant que les Willow, mais cela n’a pas d’importance. Je ne suis peut-être pas son fils biologique, mais je suis à la tête de la famille Scafoni. Mon père est mort, je suis l’aîné et je n’ai pas l’intention de laisser quelqu’un me gouverner ou usurper ma place, surtout pas Lucinda.
— Ce sont des putains, Sebastian. Elles sont là pour servir un but. Garde cela à l’esprit au lieu de t’en prendre à tes frères. La famille d’abord. Ne l’oublie jamais.
— Vous n’avez pas besoin de me le rappeler, Lucinda. J’aimerais juste comprendre votre haine envers elles. Je veux dire, que sont-elles pour vous ? Vous n’êtes pas une Scafoni par le sang, après tout.
Cela l’irrite au plus haut point, et ce fait me ravit.
Les portes de la bibliothèque s’ouvrent, lui évitant d’avoir à répondre.