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Source Text

Agricultural data is in a legal vacuum

In the 191th edition of the Paristech journal of Telecom, Sara Clignet and Daniel Kofman, speak about the legal issues of agricultural data.

Farmers were among the first to use digital services, namely GPS systems for truly granular farming (subscriptions are defined in centimetres) of fields with their tractors.
Today, tractors process vast amounts of information such as plant maturity, humidity, diseases, soil or climate. Connected livestock such as cattle, give valuable information, and tomorrow these data will come from pigs or poultry.
These data provide abundant qualitative and quantitative information, and improve energy use, water, crop protection products, which help the farmer save time and make decisions. But, wait. Who owns all this data? The farmer? The company that collects and processes the data? The data hosting platform? In reality, these data are in a legal vacuum.
The authors recommend that the data be stored in a neutral repository. This solution guarantees data anonymity, storage, security, traceability and conformity for better sharing and use and creates value for farmers.

Target Text

Donner ses données agricoles ?

Dans le numéro 191 de la Revue des Telecom de Paristech, Sara CLIGNET et Daniel KOFMAN parlent de la problématique juridique des données agricoles.

Les agriculteurs furent parmi les premiers à utiliser les services numériques, notamment les systèmes de GPS pour une exploitation très granulaire (les abonnements se définissent en centimètres) des champs avec leur tracteur. Aujourd’hui ces mêmes tracteurs traitent des informations aussi diverses que la maturité de la plantation, le degré d’humidité, les maladies, l’état des sols ou le climat pour en citer quelques-uns. Le bétail connecté, telle la vache, livre de précieuses informations, et demain ces données proviendront des cochons ou des volailles.
Ces données offrent pléthores d’informations qualitatives et quantitatives, et améliorent la consommation d’énergie, de l’eau, de produits phytosanitaires, afin d’aider l’agriculteur à gagner du temps et prendre des décisions. Mais, au fait, qui est propriétaire de ces informations ? Le fermier ? La société de services qui collecte et traite les données ? La plateforme hébergeant les données ? En réalité, ces données se trouvent dans un vide juridique.
Les auteurs préconisent de neutraliser les données dans un lieu tiers, afin de garantir leur anonymisation, stockage, sécurité, traçabilité, mise en conformité et utilisation commerciale.